TOUTES LES SILHOUETTES ... POUR TOUTES LES TAILLES

TOUTES LES SILHOUETTES ... POUR TOUTES LES TAILLES



Le gab a ri… et la caravane passe…

En fait, je n’ai jamais su si j’étais un ¾ trop gros, pour être entier, ou un avant trop petit pour être complet ! C’est sans doute la raison pour laquelle ils m’ont mis demi… de mêlé au début, car j’avais de petites jambes, puis… d’ouverture ensuite, parce qu’elles ont un peu grandi ! Il y a donc de la place pour tout le monde sur un terrain de rugby ; les enfants moqués dans les cours d’école s’ouvrent comme des fleurs au printemps en découvrant ce sport.


Le gabarit ne peut être une excuse ni la justification d’un refus, c’est même souvent un atout. Quand vous êtes un ¾ un peu costaud (je sais de quoi je parle avec mes 92… 93 kg en 1987, et à une époque où la plupart des ouvreurs défendaient comme des toréros, et où le crochet intérieur était un gros mot), vous pouvez améliorer un peu votre côte d’amour auprès des « gros » qui considèrent alors, que l’offrande qu’ils vous ont préparée avec ardeur, aura une chance de vivre, et ne sera pas gâchée par une « biscouette » avortée rendant le ballon à l’adversaire…


Explication de texte : l’utilisation du qualificatif « gros » est un terme affectif dans notre langage, pour qualifier les avants, et qui veut aussi dire « coffre-fort à ballons » ou «en avant très probable». Par opposition, les « gazelles » ou « pink floyd » de derrière, sont en principe plus longilignes, plus peureux également, pas très RSE, attirés par ce qui brille y compris le risque et les grands espaces.


Le gab a ri… et la caravane passe…

En fait, je n’ai jamais su si j’étais un ¾ trop gros, pour être entier, ou un avant trop petit pour être complet ! C’est sans doute la raison pour laquelle ils m’ont mis demi… de mêlé au début, car j’avais de petites jambes, puis… d’ouverture ensuite, parce qu’elles ont un peu grandi ! Il y a donc de la place pour tout le monde sur un terrain de rugby ; les enfants moqués dans les cours d’école s’ouvrent comme des fleurs au printemps en découvrant ce sport.


Le gabarit ne peut être une excuse ni la justification d’un refus, c’est même souvent un atout. Quand vous êtes un ¾ un peu costaud (je sais de quoi je parle avec mes 92… 93 kg en 1987, et à une époque où la plupart des ouvreurs défendaient comme des toréros, et où le crochet intérieur était un gros mot), vous pouvez améliorer un peu votre côte d’amour auprès des « gros » qui considèrent alors, que l’offrande qu’ils vous ont préparée avec ardeur, aura une chance de vivre, et ne sera pas gâchée par une « biscouette » avortée rendant le ballon à l’adversaire…


Explication de texte : l’utilisation du qualificatif « gros » est un terme affectif dans notre langage, pour qualifier les avants, et qui veut aussi dire « coffre-fort à ballons » ou «en avant très probable». Par opposition, les « gazelles » ou « pink floyd » de derrière, sont en principe plus longilignes, plus peureux également, pas très RSE, attirés par ce qui brille y compris le risque et les grands espaces.


Le gab a ri… et la caravane passe…

En fait, je n’ai jamais su si j’étais un ¾ trop gros, pour être entier, ou un avant trop petit pour être complet ! C’est sans doute la raison pour laquelle ils m’ont mis demi… de mêlé au début, car j’avais de petites jambes, puis… d’ouverture ensuite, parce qu’elles ont un peu grandi ! Il y a donc de la place pour tout le monde sur un terrain de rugby ; les enfants moqués dans les cours d’école s’ouvrent comme des fleurs au printemps en découvrant ce sport.


Le gabarit ne peut être une excuse ni la justification d’un refus, c’est même souvent un atout. Quand vous êtes un ¾ un peu costaud (je sais de quoi je parle avec mes 92… 93 kg en 1987, et à une époque où la plupart des ouvreurs défendaient comme des toréros, et où le crochet intérieur était un gros mot), vous pouvez améliorer un peu votre côte d’amour auprès des « gros » qui considèrent alors, que l’offrande qu’ils vous ont préparée avec ardeur, aura une chance de vivre, et ne sera pas gâchée par une « biscouette » avortée rendant le ballon à l’adversaire…


Explication de texte : l’utilisation du qualificatif « gros » est un terme affectif dans notre langage, pour qualifier les avants, et qui veut aussi dire « coffre-fort à ballons » ou «en avant très probable». Par opposition, les « gazelles » ou « pink floyd » de derrière, sont en principe plus longilignes, plus peureux également, pas très RSE, attirés par ce qui brille y compris le risque et les grands espaces.


Le gab a ri… et la caravane passe…


En fait, je n’ai jamais su si j’étais un ¾ trop gros, pour être entier, ou un avant trop petit pour être complet ! C’est sans doute la raison pour laquelle ils m’ont mis demi… de mêlée au début, car j’avais de petites jambes, puis… d’ouverture ensuite, parce qu’elles ont un peu grandi ! Il y a donc de la place pour tout le monde sur un terrain de rugby ; les enfants moqués dans les cours d’école s’ouvrent comme des fleurs au printemps en découvrant ce sport.


Le gabarit ne peut être une excuse ni la justification d’un refus, c’est même souvent un atout. Quand vous êtes un ¾ un peu costaud (je sais de quoi je parle avec mes 92… 93 kg en 1987, et à une époque où la plupart des ouvreurs défendaient comme des toréros, et où le crochet intérieur était un gros mot), vous pouvez améliorer un peu votre côte d’amour auprès des « gros » qui considèrent alors, que l’offrande qu’ils vous ont préparée avec ardeur, aura une chance de vivre, et ne sera pas gâchée par une « biscouette » avortée rendant le ballon à l’adversaire…


Explication de texte : l’utilisation du qualificatif « gros » est un terme affectif dans notre langage, pour qualifier les avants, et qui veut aussi dire « coffre-fort à ballons » ou « en avant très probable ». Par opposition, les « gazelles » ou « pink floyd » de derrière, sont en principe plus longilignes, plus peureux également, pas très RSE, attirés par ce qui brille y compris le risque et les grands espaces.


Contrairement à ce que l’on croit, et sur quelques apparences qui nous éloignent de polytechnique, comme un nez légèrement tordu, des oreilles en choux fleur, de la vaseline sur les arcades ou un bandeau qui tombe sur les yeux, je suis convaincu qu’il faut beaucoup d’intelligence pour être un Grand Avant, ce qui entendons-nous, et pour être équitable, n’altère pas toujours une certaine dose de bêtise, nécessaire dit-on, et autant qu’à Polytechnique.


Bref vous l’avez compris, et sans démagogie aucune, car mes cuisses mesures toujours 68 cm de circonférence, j’ai une grande affection pour ces grands et gros gabarits qui nous ont livré sur des plateaux d’argent des ballons en or pur. Ce sont de véritables paquets de tendresse protecteurs, et souvent armés d’un humour aussi fin qu’ils sont lourds.


Nous n’avons pas, pour autant dans le monde du rugby, ce besoin de revendiquer avec véhémence une particularité, une différence, une couleur ou une religion parce que ces caractéristiques distinctives sont l’essence même et les ingrédients de nos performances. Ces tailles, ces kilos, cette vitesse, cette intelligence parfois sont même allègrement auto-caricaturées, sans que toutes les associations protectrices des genres s’en mêle


Contrairement à ce que l’on croit, et sur quelques apparences qui nous éloignent de Polytechnique, comme un nez légèrement tordu, des oreilles en chou-fleur, de la vaseline sur les arcades ou un bandeau qui tombe sur les yeux, je suis convaincu qu’il faut beaucoup d’intelligence pour être un Grand Avant, ce qui entendons-nous, et pour être équitable, n’altère pas toujours une certaine dose de bêtise, nécessaire dit-on, et autant qu’à Polytechnique.


Bref vous l’avez compris, et sans démagogie aucune, car mes cuisses mesurent toujours 68 cm de circonférence, j’ai une grande affection pour ces grands et gros gabarits qui nous ont livrés sur des plateaux d’argent des ballons en or pur. Ce sont de véritables paquets de tendresse protecteurs, et souvent armés d’un humour aussi fin qu’ils sont lourds.


Nous n’avons pas, pour autant dans le monde du rugby, ce besoin de revendiquer avec véhémence une particularité, une différence, une couleur ou une religion parce que ces caractéristiques distinctives sont l’essence même et les ingrédients de nos performances. Ces tailles, ces kilos, cette vitesse, cette intelligence parfois sont même allègrement auto-caricaturées, sans que toutes les associations protectrices des genres s’en mêlent.

Contrairement à ce que l’on croit, et sur quelques apparences qui nous éloignent de polytechnique, comme un nez légèrement tordu, des oreilles en choux fleur, de la vaseline sur les arcades ou un bandeau qui tombe sur les yeux, je suis convaincu qu’il faut beaucoup d’intelligence pour être un Grand Avant, ce qui entendons-nous, et pour être équitable, n’altère pas toujours une certaine dose de bêtise, nécessaire dit-on, et autant qu’à Polytechnique.


Bref vous l’avez compris, et sans démagogie aucune, car mes cuisses mesures toujours 68 cm de circonférence, j’ai une grande affection pour ces grands et gros gabarits qui nous ont livré sur des plateaux d’argent des ballons en or pur. Ce sont de véritables paquets de tendresse protecteurs, et souvent armés d’un humour aussi fin qu’ils sont lourds.


Nous n’avons pas, pour autant dans le monde du rugby, ce besoin de revendiquer avec véhémence une particularité, une différence, une couleur ou une religion parce que ces caractéristiques distinctives sont l’essence même et les ingrédients de nos performances. Ces tailles, ces kilos, cette vitesse, cette intelligence parfois sont même allègrement auto-caricaturées, sans que toutes les associations protectrices des genres s’en mêle


Contrairement à ce que l’on croit, et sur quelques apparences qui nous éloignent de polytechnique, comme un nez légèrement tordu, des oreilles en choux fleur, de la vaseline sur les arcades ou un bandeau qui tombe sur les yeux, je suis convaincu qu’il faut beaucoup d’intelligence pour être un Grand Avant, ce qui entendons-nous, et pour être équitable, n’altère pas toujours une certaine dose de bêtise, nécessaire dit-on, et autant qu’à Polytechnique.


Bref vous l’avez compris, et sans démagogie aucune, car mes cuisses mesures toujours 68 cm de circonférence, j’ai une grande affection pour ces grands et gros gabarits qui nous ont livré sur des plateaux d’argent des ballons en or pur. Ce sont de véritables paquets de tendresse protecteurs, et souvent armés d’un humour aussi fin qu’ils sont lourds.


Nous n’avons pas, pour autant dans le monde du rugby, ce besoin de revendiquer avec véhémence une particularité, une différence, une couleur ou une religion parce que ces caractéristiques distinctives sont l’essence même et les ingrédients de nos performances. Ces tailles, ces kilos, cette vitesse, cette intelligence parfois sont même allègrement auto-caricaturées, sans que toutes les associations protectrices des genres s’en mêle

C’est notre ADN.

Nous sommes parfois chahutés dans la rue, mais savons nous rendre indispensables et vénérables sur un terrain de rugby. Ce sport est une école d’humilité, où le respect d’autrui est la base de notre management. Le reste est organisé par des règles strictes, non discutables et arbitrées par un homme intouchable.


Eden Park a, pour toutes ces raisons et par reconnaissance, toujours eu de l’attention pour ces clients aux gabarits remarquables, en essayant de les habiller avec l’objectif de proposer à la fois du confort et de l’aisance, mais aussi avec la volonté de rendre harmonieuses ces silhouettes représentantes de la diversité.


C’est un privilège pour notre marque de pouvoir fidéliser par la qualité de nos produits et une réponse adaptée, ces femmes et hommes, ces athlètes hors normes de l’Ovalie, du Hand, du Basket, du Volley, ou plus simplement de notre planète sur lesquels ces véritables dieux planent parfois lentement, mais aussi souvent avec une souplesse paradoxale, un charisme unique et une gentillesse sereine et rare.


Franck Mesnel


C’est notre ADN.

Nous sommes parfois chahutés dans la rue, mais savons nous rendre indispensables et vénérables sur un terrain de rugby. Ce sport est une école d’humilité, où le respect d’autrui est la base de notre management. Le reste est organisé par des règles strictes, non discutables et arbitrées par un homme intouchable.


Eden Park a, pour toutes ces raisons et par reconnaissance, toujours eu de l’attention pour ces clients aux gabarits remarquables, en essayant de les habiller avec l’objectif de proposer à la fois du confort et de l’aisance, mais aussi avec la volonté de rendre harmonieuses ces silhouettes représentantes de la diversité.


C’est un privilège pour notre marque de pouvoir fidéliser par la qualité de nos produits et une réponse adaptée, ces femmes et hommes, ces athlètes hors normes de l’Ovalie, du Hand, du Basket, du Volley, ou plus simplement de notre planète sur lesquels ces véritables dieux planent parfois lentement, mais aussi souvent avec une souplesse paradoxale, un charisme unique et une gentillesse sereine et rare.


Franck Mesnel

Contrairement à ce que l’on croit, et sur quelques apparences qui nous éloignent de polytechnique, comme un nez légèrement tordu, des oreilles en choux fleur, de la vaseline sur les arcades ou un bandeau qui tombe sur les yeux, je suis convaincu qu’il faut beaucoup d’intelligence pour être un Grand Avant, ce qui entendons-nous, et pour être équitable, n’altère pas toujours une certaine dose de bêtise, nécessaire dit-on, et autant qu’à Polytechnique.


Bref vous l’avez compris, et sans démagogie aucune, car mes cuisses mesures toujours 68 cm de circonférence, j’ai une grande affection pour ces grands et gros gabarits qui nous ont livré sur des plateaux d’argent des ballons en or pur. Ce sont de véritables paquets de tendresse protecteurs, et souvent armés d’un humour aussi fin qu’ils sont lourds.


Nous n’avons pas, pour autant dans le monde du rugby, ce besoin de revendiquer avec véhémence une particularité, une différence, une couleur ou une religion parce que ces caractéristiques distinctives sont l’essence même et les ingrédients de nos performances. Ces tailles, ces kilos, cette vitesse, cette intelligence parfois sont même allègrement auto-caricaturées, sans que toutes les associations protectrices des genres s’en mêle



C’est notre ADN

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Franck Mesnel